défendons l'agriculture biologique !!!

Tu parles souvent de poubelle pour ce qui est de la rubrique Lost Paradise, Hostlost, mais en termes de détritus, ce sont plutôt des déchets de qualité que tu nous sers (du 100% bio !) avec ce sujet. Franchement, je suis sur le derrière, et plus encore parce que je n'y connais rien dans ce domaine, ce qui m'a fait amèrement sourciller lorsque j'ai lu que tu considérais que j'avais toujours quelque chose (de pertinent, sous-entendu je pense) à dire, car là, je suis noyé dans la bouse qui atrophie mon cerveau. Ceci étant, quand il s'agit de parler de travail, on pourrait en tenir des discours pendant des heures. La petite différence, c'est qu'on sent bien que toi, ça t'intéresse, que c'est ton dada ; et ça, c'est louable et respectable !!

Je ne relèverai pas le fait que nous soyons derniers en matière d'éducation, secteur dont je me sens plus proche... Mais je suis conscient que nous sommes TOUTES et TOUS concernés par l'environnement, responsables de toute cette énergie que nous déployons comme des dieux pour le massacrer à petit feu, et ne laisser qu'une planète désolée aux générations ultérieures, à nos enfants. On dit que l'homme est un loup pour l'homme, mais il l'est aussi pour la faune et la flore, la végétation, la couche d'ozone et, en bref, tout ce qui fait de la terre la magnifique planète qui nous a été confiée par nos ancêtres. Soyons maudits !

La nature de nos sols, de la terre que l'on y trouve est en pleine évolution, et ce dans le mauvais sens, comme de bien entendu, si bien que d'ici peu, elle sera complètement stérile, perdant sa fertilité originelle pour n'être plus qu'un terreau qui ne nous servira plus qu'à avoir quelque chose à piétiner... ou à recouvrir de goudron ! Fiers d'avoir utilisé nos p...ins de pesticides pour réduire à néant les micro-organismes qui sont nécessaires à l'écosystème, nous finirons par ne nous nourrir que de produits chimiques, de "nourriture" liophilisée, et le pire, c'est que nous ne nous en porterons pas mieux et irons encore dire que c'est de la faute aux saisons déréglées, à la pollution, au pays voisin qui nous pompe toutes nos ressources naturelles, simplement pour favoriser l'exportation, et donc l'économie, mais ne nous laissant que des queues de cerises dans l'assiette. Pathétique ! C'est comme de cracher dans le sens du vent et de se plaindre en levant les yeux au ciel quand on se prend le mollard dans le coin de la gueule.

On ne peut que comprendre que dans de telles conditions, les animaux eux-mêmes subissent des changements morphologiques ou organiques, mais on oublie souvent que la vie ici-bas est le fruit d'une effervescence dans laquelle nous avons tous un rôle, comme une chaîne avec les êtres humains, les animaux, les végétaux, voire même les minéraux inclus. Si tous les poissons devenaient hermaphrodites, l'écosystème serait déréglé et des centaines, voire des milliers d'espèces seraient menacées. Mais nous n'en avons cure : on sera déjà morts quand la nature aura perdu ses droits et/ou a tellement l'habitude de substituts chimiques qu'on ne fait plus d'efforts pour trouver des solutions naturelles et durables : belle mentalité !

Alors oui, c'est réellement ça : "aucun respect pour le vivant". Et je suis sûr que, si nous sortons un jour de cette léthargie qui a mis en sommeil ce qui nous sert de cervelle et nous fait perdre le sens des réalités, il sera déjà trop tard à ce moment-là.

Nous sommes TOUS responsables, d'une manière ou d'une autre. Et nous sommes nous-mêmes nos propres bourreaux. Tout ça me fout la gerbe !!!!

Enfin bref... Avoir une épée de Damoclès au-dessus du crâne, ce n'est pas une situation confortable...

Pour ce qui est du bio, j'en consomme quand je peux, mais je ne suis pas non plus un grand consommateur en alimentation en général, tout du moins en quantité, et n'ai donc pas franchement l'occasion d'en acheter actuellement. Mais là où le bât blesse, c'est la boisson : je bois énormément d'eau, à la limite de la potomanie (l'été, je monte à cinq ou six litres par jour). Ma soif est si viscérale (et certainement d'ordre psychologique) que je ne saurais faire la différence, au goût, entre une eau de mauvaise qualité et une bien meilleure. Il me faut de l'eau, c'est tout ! Sirops, jus et sodas peuvent remplacer l'eau, mais modérément. Et pas d'alcools forts ! Bières et vins à l'occasion... Je me sens donc particulièrement concerné par le devenir de l'eau.

Quant aux morceaux de Paradise Lost pour favoriser le rendement des plantes, j'opterais pour Desolate, Divided, et les string dub mixes et orchestra mixes...

Bienvenue au club des adorateurs de l'eau !!!

Non, ce ne sont pas des conneries non plus en ce qui me concerne, mais à la différence de toi, je bois de tout et du n'importe quoi : de l'eau du robinet, de l'eau moyennement potable (du moins, douteuse...), de l'eau minérale... Sans bulles, donc, et bien fraîche de préférence. Il a été scientifiquement prouvé que les propensions à la potomanie étaient d'ordre psychologique, mais dans mon cas de figure, une forte sudation est manifestement liée : je perds quelques décalitres l'été en une ou deux heures, à peu de choses près. Cela rejoint mes difficultés à supporter les fortes températures qui me mettent vraiment mal à l'aise (à partir de 27°c, je ne vais généralement pas fort...).

Niveau eaux minérales, non, je ne fais absolument et irrémédiablement aucune différence entre Hépar, Volvic, Évian, Contrex, etc. C'est de l'eau !

Paradoxalement (en quelques sortes), mon aquaphobie (piscine, mer), la noyade in-extremis que j'ai essuyée à neuf ans et peut-être encore d'autres raisons font de mon rapport avec l'eau quelque chose de très particulier, avec beaucoup de respect, mais de dégoût aussi. Le fait qu'elle n'ait théoriquement aucun goût, ou tout du moins, que je n'en ressente pas le goût, fait que ça passe très bien, mais je déteste cette dépendance, sans pour autant essayer de me restreindre, je l'avoue...

Moi, c'était en Espagne où je me gavais de litres d'eau...

En tout cas, nous devons tous l'économiser pour mieux la préserver, car elle n'existe pas en quantité illimitée, et tant la végétation que les animaux et nous les Hommes en aurons toujours besoin. Il nous faut donc reconsidérer nos gestes au quotidien, et rien que cela sera un travail de longue haleine.

Ouiiii, Dead can Dance, ainsi qu'un ou deux morceaux du premier album de Tristania, et un peu de Nana Mouskouri ?

Je suis encore loin de vivre la nuit, mais il est vrai que je dors très peu, car -d'une-, je me sens plus à l'aise dans la fraîcheur nocturne qu'aux heures diurnes et en profite donc pour écrire (l'inspiration est là !), et -de deux-, je n'aime tout simplement pas beaucoup dormir dans le sens où je n'ai pas le temps de boucler tout ce que je dois faire et ne peux donc m'offrir le "luxe" de dormir plus que de rigueur. Attention, je dors quand même six heures par nuit, ce qui me semble bien, mais bon, c'est un autre discours...

En tout cas, aucun doute que je préfère le créneau horaire entre 18h et 6 heures du matin que l'opposé, avec ses jolies lumières changeantes au crépuscule et à l'aube, son ciel constellé d'étoiles, sa fraîcheur et son silence. D'ailleurs, Nick a dit un jour que la musique que joue le groupe ne convient pas à des festivals diurnes, que ni lui, ni les autres n'aimaient jouer dans ce contexte, et que leur musique collait mieux à l'obscurité. Je ne suis pas de cet avis (des titres comme Eternal ou Close your Eyes passent mieux en journée, je trouve...), mais il est vrai que les soirées me semblent globalement plus agréables que les journées et que les sensations ressenties à l'écoute d'un morceau sont différentes en fonction du moment.

Ton rejeton s'est cassé les dents sur le cuir de ma peau ; dommage pour lui, il ne pourra plus vampiriser qui que ce soit. En outre, mon sang O+ n'est sans doute pas d'une qualité exceptionnelle et je suis convaincu, s'il l'avait pu, qu'il aurait pu trouver quelqu'un d'autre à mordre. Mais bon, il est trop tard. Je me servirai de ses canines comme des cure-dents...

Quant à tes trésors, ne me tente pas !

Aaah, je suis bien d'accord avec toi... encore que j'irais jusqu'à me prosterner devant Aaron également, en plus de Nick et Greg... Nous ne sommes que de pauvres cafards grouillants face à la majestuosité et la magnificence de ces trois divinités.

Je vous reproche de ne pas respirer à la hauteur où je respire... Henri de Montherlant, 1942

Faut bien en profiter un petit peu quand même ! Il aurait eu tort de s'en priver ; c'est un geste tendre et chaleureux qui n'engage à rien ! Enfin, moi, à sa place, j'aurais fait pareil...